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mercredi 27 novembre 2019

C'était pas censé se passer comme ça de Eve Borelli

Harlequin éditions, 16 octobre 2019, 256 pages, disponible au format papier et numérique







Il n’y a pas de famille parfaite… mais il y en a des plus cinglées que d’autres.

Les vacances en famille, c’est toujours un grand moment d’angoisse. L’heure du bilan, des crises de foie, des vexations et des sourires forcés. Cette année, chez les Stradavine, la fête de Pâques est pimentée par la venue de deux invitées. Il y a d’abord Léo, 25 ans, ravie de fuir ses parents qui la persécutent pour qu’elle trouve un «  vrai travail  » (depuis quand se déguiser en Simba n’est pas un vrai travail  ?) et un «  gentil garçon  ». Et il y a Renata, la belle-fille psy allergique à la famille, aussi névrosée qu’attachante. Deux invitées dont la venue n’était pas prévue, et va tout changer : entre coups de foudre, virée impromptue en boîte, liaisons secrètes et crises de rire, la famille Stradavine va en voir de toutes les couleurs… pour le pire, mais surtout pour le meilleur  !





Nous faisons la connaissance de Léonore dite Léo, une nana un peu barrée qui bosse au The Child King, une aire de jeux spécialisée dans l’organisation des anniversaires pour enfants à thème Disney.

Moi qui ne suis pas une particulièrement attirée par les dessins animés (la faute à mes enfants, oui, vous avez bien lu, je n’ai pas honte de le dire lol), j’ai été servie si je puis dire avec toutes les citations dont Léo fait le précepte dans sa vie quotidienne. 
Malgré ça, c’est une nana super attachante et drôle, et je dois dire qu’elle m’a fait bien souvent mourir de rire. Elle a des rapports compliqués avec ses parents, et quand sa colocataire lui propose de venir passer Pâques dans sa famille, elle accepte.



Ensuite, il y a Renata, une psychologue névrosée qui aurait bien besoin de consulter elle-même. Sa phobie sur la famille est bien fondée et ancrée en elle, et depuis que son fiancé lui a proposé de faire un bébé, c’est le bordel dans sa tête. 
Et quand Henry lui demande de l’accompagner pour diagnostiquer sa grand-mère, qui tombe pendant les fêtes de Pâques, c’est la totale ! 
Elle qui avait toujours réussi à esquiver les réunions de famille des Stravadine depuis 3 ans, ne peut pas refuser cette fois-ci devant la détresse de son homme.



Donc voilà les deux jeunes femmes qui débarquent chez la grand-mère Stravadine. Cette mamie est une fofolle dans le bon sens du terme, j’aurais adoré en avoir une comme ça moi aussi.
  
Chaleureuse et aimante, avec un petit grain de folie, elle va recevoir ses invitées avec grand plaisir. C’est une famille unie que l’on va découvrir, la grand-mère a élevé ses petits enfants suite au décès de leurs parents et ils se portent un amour inconditionnel.



Entre la famille Stravadine, Léo et Renata, vous allez assister à une réunion familiale des plus épiques. 

Ce roman est rafraîchissant, il fait la part belle aux sentiments et a beaucoup d’humour. 

Entre situations cocasses et personnages hauts en couleurs, j’ai passé un super moment de détente.



Eve Borelli dont je ne connaissais pas les écrits, m’a ravie avec sa plume fluide et drôle. Il est vrai que je ne lis pas beaucoup de feel-good, mais je ne suis pas déçue du tout de ma lecture. C’est ce genre de romance qui ne prend pas la tête, que l’on lit sans attente particulière si ce n’est de rire à gorge déployée.



En bref, un feel-good qui mêle diverses émotions, des personnages barrés et attachants et qui fait du bien tout simplement !
 



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mardi 20 mars 2018

La lanceuse de couteaux d'Eve Borelli

éditions Charleston, 20 mars 2018, 320 pages, disponible au format papier et numérique




Cette histoire, c'est l'histoire de Siloé, qui ne voit plus la magie du cirque dans lequel elle a grandi et le quitte pour de mauvaises raisons mais qui en chemin, apprendra à faire ses propres choix et à définir ses envies personnelles. C'est l'histoire d'une indépendance progressive, piquée d'embûches, d'amitié et d'amour. Siloé est orpheline de mère et vit dans le cirque familial, entourée par toute une galerie de personnages atypiques. Mais la jeune fille rêve d'être lanceuse de couteaux, ce que son père lui refuse obstinément. La voilà donc qui décide de rallier un cirque concurrent pour - enfin - essayer de faire ses preuves...



Siloé est née dans un cirque : le cirque nuageux.
Tous les membres de la troupe forment une grande famille et se soutiennent dans les moments difficiles.

Elle y a grandi avec pour compagnon de jeu: Bowie qu'elle considère comme son meilleur ami et avec qui elle a fait les 400 coups.

Devenue une belle jeune fille de 18 ans, à cause de sa vie d'itinérante, elle n'a jamais embrasser un garçon. Un état de fait que Bowie est tout prêt à changer mais Siloé refuse car elle considère le jeune homme comme un frère.

Depuis le décès de sa mère, danseuse au coeur du cirque, les relations avec son père se sont dégradées car là où elle aimerait présenter un numéro de cirque où l'adrénaline mène la danse comme dresseuse de lions, lanceuse de couteaux ou trapéziste, son père s'y oppose et veut lui imposer un rôle de danseuse ou d'ouvreuse, ce que la jeune femme refuse catégoriquement.

Arrive un autre cirque : le cirque sanglant qui, à l'inverse du cirque nuageux, propose des spectacles qui n'ont plus rien à voir avec le cirque traditionnel. On pourrait le comparer au cirque du soleil.

Et dans cette troupe, il y a Raphaël qui, avec son look de bad boy, son regard de braise fascine totalement Siloé.
Ce dernier fait une proposition à Siloé. L'attrait de l'inconnu, ce petit frisson d'excitation qu'elle ressent en sa présence et la promesse de découvrir autre chose vont la pousser à accepter.
Mais est-ce une bonne ou une mauvaise décision de partir ainsi vers l'inconnu et avec un inconnu ?

Dans ce récit, Siloé va vivre une passion dévorante, obsédante et parfois pathétique pour ce bad boy mystérieux, secret et soufflant le chaud et le froid.

Elle est véritablement accro à Raphaël malgré les événements qui se précipitent et lui trouve toutes les excuses possibles !
Elle devient dépendante du jeune homme, de ses attentions, de ses gestes de tendresse - dont il est plus qu'avare. 
Mais malheureusement, la violence est sous-jacente, malsaine, que ce soit dans les attitudes, les réflexions, les mots qui blessent autant si pas plus que les gestes.
Elle est sournoise car elle ne laisse aucune trace extérieure mais détruit de l'intérieur, ronge comme un acide.

Et vous pousse parfois à commettre le pire !

La lanceuse de couteaux est un récit qui nous parle de la violence faite aux femmes, ces femmes qui parfois préfèrent se taire ou estiment - à tort - que ce qui leur arrivent est leur faute, alors qu'elles sont LES victimes !
Certaines y réchappent, d'autres pas.
Certaines peuvent compter sur leur entourage, d'autres pas. 
Mais dans un cas comme dans l'autre ces femmes restent marquées à tout jamais dans leur coeur et parfois, aussi, dans leur corps.

En bref, ce roman nous plonge au coeur d'une histoire d'amour destructrice, dévastatrice, bouleversante qui vous prend au coeur et aux tripes et dont on ne ressort pas indemne.


 
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mercredi 16 septembre 2015

Délicieuse dépendance d'Eve Borelli

Harlequin HQN, 18 septembre 2015 - Format eBook 57 pages


Un mot griffonné à la va-vite sur un morceau de sopalin. Voilà le type de rupture à laquelle Agathe a eu droit après plusieurs mois d’une relation passionnée avec celui qu’elle croyait être l’homme de sa vie. Elle aurait dû s’en douter : Nico, talentueux rugbyman, était bien trop sexy pour rester avec un médecin de campagne comme elle. Mais, aujourd’hui, après des semaines passées à lutter contre les souvenirs, elle doit affronter le retour de son ex en ville à l’occasion d’un match. Si jamais elle le croise, elle s’est juré de rester distante. Oui, elle sera digne, imperturbable, invulnérable… une vraie reine des glaces ! Alors pourquoi son cœur s’emballe dès qu’une ombre passe devant sa fenêtre ?

**Merci à Mélanie et aux Éditions Harlequin HQN pour cette lecture**

Dans cette nouvelle nous découvrons l'histoire d'Agathe, la narratrice de cette romance. 

Agathe, ou Dr Mangano, vit l'une des journées les plus pourries qui soient. Entre l'entraîneur de l'équipe de rugby locale qui la prend pour une vétérinaire et la peste de service qui, rien que par sa présence, a le chic pour foutre en l'air sa journée, c'était déjà mal parti ! Mais, quand elle apprend que l'équipe de rugby nationale vient au village pour le weekend, histoire de prendre le vert avant leur match... là, ... c'est le pompon ! L'horreur absolue ! Pourquoi ? Car dans cette équipe, il y a Nico Taglaccioni ! Son Nico ! Enfin non..., son ex-Nico ! Celui qu'elle essaye - vainement - d'oublier depuis un an... l'amour de sa vie - enfin du moins elle le croyait ! - jusqu'au jour où ce dernier s'est barré un matin comme un malpropre, lui laissant juste un mot écrit à l'arrache... celui qui lui brisé le cœur... celui avec qui elle a connu des orgasmes de folies... Bref, ce Nico ! 

Maintenant que faire ? Plusieurs options s'offrent à elle (si si) : 
- l'ignorer (pas mal, mais frustrant)
- le taper à mort (tentant, mais dangereux)
- lui sauter dessus pour refaire toutes les positions du Kama-sutra (Ah oui !... mais non)
- lui demander des explications (bien, mais risqué)
- se terrer chez elle en picolant (pourquoi pas, tiens ?)
Bref, elle n'a que l'embarras du choix... sauf si Nico fout tous ces projets en l'air...

Je vais devenir une fan absolue de ces petites nouvelles #SexyRugby. 
Je suis une nouvelle fois sous le charme par cette histoire pleine d'humour et de tendresse
Les personnages sont à croquer... charmants et attachants. Agathe est une héroïne un brin déjantée comme je les aime. Elle forme un duo de choc avec James, son assistant ! C'est une romance qui fait du bien. 

En bref ? Je suis une Nico-dépendante... à moins que ça soit Agathe-dépendante ?... Ou une Eve Borelli-dépendante ?...


Ce livre est un service-presse de :


mercredi 17 juin 2015

La petite brune dans la prairie d'Eve Borelli

Harlequin HQN, 05 juin 2015 - Format eBook 167 pages

Participer à une émission de télé-réalité pour trouver l’amour auprès d’un charmant homme des campagnes ? Même pas en rêve. Sauf que ma mère a un penchant naturel pour s’immiscer dans ma vie. Et une irrépressible envie de me caser, histoire d’avoir des petits enfants à pouponner. Résultat, me voilà inscrite pour tenter de séduire Romuald, grand brun ténébreux et très sympathique vigneron-œnologue au regard qui sent bon le fut de chêne. Bon, j’avoue : c’est plus la perspective de faire un peu de pub à mon entreprise de colliers pour chiens Ouaf-ouaf que celle de rencontrer l’homme de ma vie qui m’a convaincue d’effectuer la grande transhumance jusqu’à Issy-l’Évêque. Mais on ne sait jamais, il paraît que l’amour pousse parfois dans les champs !

**Merci à Mélanie et aux Éditions Harlequin HQN pour cette lecture**


La petite brune dans la prairie ou comment s'éclater dans une lecture !

Mais comment Anna s'est-elle retrouvée à participer à l'émission de télé-réalité, L'amour au vert, alors qu'elle n'a jamais vu un seul épisode de cette fichue émission ?

À cause de sa mère, bien-sûr. 
S'inquiétant de son trop long célibat, et étant une fan absolue du petit écran et de tous ses programmes paaaassionnants, elle a eu la riche idée d'usurper l'identité de sa fille pour l'inscrire à "L'amour au vert". Le concept ? Un bel agriculteur cherchant l'amour sélectionne deux candidates sur courrier et photo, et les invite  ensuite à passer la semaine chez lui... Tout ça, sous les projecteurs des caméras. 

Bien évidemment, pour Anna, c'est inimaginable ! Sérieux ?! Elle ? Dans ce show ? C'est niet. L'amour peut aller se carrer où il veut, ce n'est pas son problème, elle n'en veut pas. 
Sauf que...
(Pas de bol)
Sa meilleure amie, Amélie (la traîtresse !), ose lui faire du chantage affectif, lui rappelant une promesse qu'elles se sont faites. Et puis, elles viennent de créer ensemble, une ligne de colliers pour chiens ouaf ouaf, et maintenant que les affaires commencent à marcher, avoir de la promo gratuite pour pouvoir étendre leur marché ne serait pas de refus. 

Voilà donc comment, notre Anna, éternelle maladroite, (sûrement une parente de Gaston Lagaffe) se retrouve au milieu des vignes, chez Romuald, un œnologue passionné, propriétaire d'une immense exploitation. 
Heureusement pour elle, dans son malheur, Romuald est charmant, très charmant...
Malheureusement pour elle, Jenny, l'autre concurrente, est une horrible pimbêche à la plastique parfaite et aux penchants psychotiques... 
Malheureusement pour elle, même au fin fond de la campagne, sa malchance ne la quitte pas...
Malheureusement... ou heureusement pour elle ? Rien ne va se passer comme prévu...

Ce livre est génial. Je me suis marrée du début à la fin. Déjà Anna, la narratrice de récit, est un personnage totalement barré. Gentille, mignonne et tout et tout, mais poisseuse au possible. Et puis, plus elle tente de garder sa dignité (ce qui n'est pas évident lol) plus elle s'enfonce. Son truc ? Mentir. Le problème, c'est qu'elle n'est pas crédible pour deux sous. Ce qui donne des scènes hilarantes.  (la scène du dîner Macarena - trop, trop bon !).

Et ce qui est encore mieux... c'est que ce roman n'est pas que drôle. Il y a une vraie histoire derrière qui nous tient en haleine jusqu'à la fin. Qui n'est pas cousue de fil blanc et attise notre curiosité tout au long de la lecture. Entre ses personnages mystérieux et cachottiers et une intrigue qui nous mène par le bout du nez, il est impossible de s'ennuyer. C'est un cocktail détonnant qui nous attend et qui surprendra plus d'un ;)

J'ai passé un excellent moment ! C'est drôle, frais, pétillant. L'histoire est bien ficelée et nous captive de bout en bout, et ses personnages sont sensationnels... Alors que demander de plus ?

Ce livre est un service-presse de :

vendredi 24 avril 2015

Toi, moi, les éléphants et Dark Vador d' Eve Borelli

Harlequin HQN, 17 avril 2015 - Ebook 179 pages


En ce moment, la vie de Lisie c’est le gros, gros, GROS bazar. Version animale. Car le zoo où elle travaille fait face à une invasion de spécimens tout à fait nouveaux, qui n’ont rien à envier aux locataires habituels...
Théophile-le-cochon : le fils du propriétaire du zoo est une vermine ventripotente. Depuis qu’il a repris la direction en l’absence de son père hospitalisé, Théophile a décidé de pourrir la vie de Lisie en lui confiant des tâches toutes plus désagréables les unes que les autres. De Responsable de la communication, la voilà désormais promue à Ramasseuse de crottes d’éléphants, pile au moment où elle devait mettre à exécution son plan pour relancer l’activité du zoo...
Lucas-le-paon : après une rencontre fracassante dans l’enclos des éléphants, voilà que Lisie est en charge de faire visiter le zoo à cet arrogant – et irritant – animal, mandaté pour rédiger un article. Un animal terriblement bavard mais aussi très, très séduisant...
Entre un paon tout à fait charmant mais agaçant, un cochon aux intentions très douteuses et le zoo qui part à vau-l’eau Lisie pourrait bien devenir chèvre !
Une romance à 100 à l’heure où humour rime avec amour !
**Merci à Mélanie et Harlequin HQN pour cette lecture**

Lisie Para travaille (normalement) en tant responsable de communication dans un zoo. Elle côtoie Arsène Lafable le patron du zoo depuis six ans maintenant et ils ont beaucoup d'affection l'un envers l'autre. Mais depuis l'arrivée de Théophile Lafable - le fils d'Arsène, à moins qu'il ne soit "le fils naturel de Cruella et Voldemort" - rien de va plus !! Il a pris les commandes du zoo, le temps de la convalescence de son père.
Depuis, Lisie est dans la merde ! Et non,  ce n'est pas qu'une façon de parler !
Adieu ses projets pour financer et rebooster le zoo (au risque de mettre la réserve en danger) et bonjour les crottes d'éléphants... Là voilà chargée des tâches les plus ingrates au sein du parc.  Mais pourquoi donc ?  Tout simplement, parce que Théophile est un con, pervers, doublé d'un gros cochon crétin, et qu'il a décidé de faire de sa vie un enfer tant qu'elle n'accepte pas un rendez-vous galant avec lui. Évidemment, Lisie préfère encore mourir enterrée sous une tonne d'excréments que ne serait-ce qu'imaginer un rencard avec lui !
"...dès qu'il bougeait la tête, un nuage de pellicules s'abattait en pluie sur ses épaules. Certaines atterrissaient même dans les poils qui dépassaient de son col de chemise." (Glamour n'est-ce pas ?)

Et puis, il  y a son ex, Jo, ce salopard  !! Qui a osé la tromper et qui en plus, s'affiche impunément devant elle avec sa nouvelle conquête !!

Et comme si cela ne suffisait pas, il y a  aussi cet odieux journaliste qui la fait tourner en bourrique. Lucas Strabovitz, sexy en diable, mais arrogant, impoli, irritant comme du poil à gratter... pff pourquoi faut-il  qu'il soit aussi sexy ?

Courage Lisie, courage !!
***

Ce qu'il faut savoir avant de commencer cette lecture, c'est que notre héroïne, Lisie, est un peu dingue. Farfelue et exubérante, rien ne lui fait peur. Sa spécialité ? Se couvrir de ridicule. Ok, c'est involontaire  et pas forcément le but recherché, mais elle le fait tout de même vachement bien ^^. Bon attention, elle sait aussi enflammer un public comme personne au son de Rihanna ;)
Autre chose à savoir, Lisie est une grande rêveuse, elle aime s'inventer des scénarios, ce qui fait que nous avons le droit à de savoureux encarts, tout au long du récit :

J'ai passé un très bon moment en compagnie de Lisie. Et si l'histoire peut sembler too much ou exagérée et certaines situations parfois grotesques, c'est tant mieux (Plus c'est gros, plus c'est drôle). Toi, moi, les éléphants et Dark Vador est fait pour nous divertir et nous amuser et c'est pari réussi. De la même trempe que la série des Lola de Louisa Méonis, il est tout aussi déjanté, loufoque et drôle, avec en prime une jolie romance derrière. 

Une lecture qui nous met de bonne humour et nous rend la journée plus agréable. 


PS :  Toi, moi, les éléphants et Dark Vador... Hum toi, moi et les éléphants, on voit. Mais la question que vous vous posez (je suppose) est... Mais qui est Dark Vador dans tout ça ? Est-ce Lucas ? Phil ? ou encore Théophile ? (Ah non, c'est vrai lui ce n'est pas Dark Vador, juste un Gros Porc.) Han han, mystère.... En tout cas, ce Dark Vador n'a pas la langue dans sa poche et son vocabulaire ferait rougir le plus grand des charretiers.... Il est vraiment à découvrir ;))


Ce livre est un service-presse de Harlequin HQN