Hachette Romans, 5 juillet 2017 - Grand Format 340 pages
Disponible en eBook
Contre toute attente, Liza a survécu à l’Arène et sauvé in extremis sa sœur Anna des griffes du président. Maintenant, elle est bien décidée à se tenir définitivement à l’écart de la Société.
Ce répit ne dure pas. Inspirés par les exploits de Liza, des rebelles ont formé une alliance et tentent de soulever la population. Et ils ont besoin d’un symbole.
Pour Liza, c’est l’occasion rêvée de mettre fin aux manigances de Connor.
Mais le prix à payer est plus élevé qu’elle ne l’imagine…
C'est avec un plaisir non feint que j'ai replongé dans l'univers créé par Juliette Lemaître. Manipulation est une lecture prenante qui nous emporte aisément et qui reste longtemps gravée en mémoire.
Afin de ne pas spoiler, je ne vais pas revenir sur les événements passés et rester volontairement floue.
Le tome reprend là où nous l'avions laissé, et la révolte gronde plus que jamais.
La révolution est en marche. Ils ont toutes leurs chances de leur côté pour faire basculer Connor, à moins qu'un grain de sable ne vienne faire dérailler l'engrenage...
C'est une histoire qui monte crescendo. Au fil des pages, la tension monte, les rebondissements s'enchaînent, le rythme s'accélère. Bref, tout est fait pour nous tenir en haleine et que notre palpitant s'agite.
J'ai adoré retrouver le personnage de Calim. Toujours aussi adorable.
Cependant, j'aurais aimé que la romance, quasi-absente, soit plus prononcée. C'est un petit regret, car je pense que la relation entre Liza et Calim méritait d'être étoffée.
Quelques rebondissements m'ont franchement surprise et, si j'ai beaucoup pesté, j'ai adoré être prise au dépourvu.
Concernant la fin, ce sera, hélas, mon plus gros bémol. Quelle rapidité ! Alors que nous sommes à fond dedans, tremblants pour nos héros, en deux phrases ou presque, paf, c'est fini !
On referme donc ce roman avec un petit sentiment de bâclé et c'est dommage, car le reste du récit est franchement sympa.
En bref ? Ce deuxième et dernier volet de Manipulation nous entraîne dans une cascade de rebondissements qui nous laisse le souffle court. Dommage que la fin déçoive un peu.
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