Les éditions Artalys, Septembre 2012, broché, 610 pages
(existe aussi en format numérique)
Ancien contorsionniste et voleur, Kerèntsil mène une paisible et secrète
existence quand il reçoit la visite d’Astarya. Cette immortelle,
ex-reine du Tourpana venue vivre incognito dans sa cité, lui demande son
aide. Le grimoire écrit par son frère Narantewé, contenant toutes ses
insurpassables connaissances en magie, a été dérobé. Et s’il prenait la
direction des belliqueux Pays d’Orient, l’équilibre du monde serait
menacé. Kerèntsil accepte de commencer l’enquête, sans imaginer qu’elle
le fera croiser aussi bien Tseag-hua, le plus inquiétant des tyrans
orientaux, que Laraouña, la déesse de l’amour. Et sans imaginer à quel
point les épreuves traversées le changeront.
Ce roman nous raconte l'histoire de Kerèntsil, ancien voleur, contacté par les Dieux pour récupérer un grimoire de magie volé.
Mais sa quête ne va pas se limiter à cela; il devra affronter maints dangers, se retrouvera marié plusieurs fois, deviendra un proche des Dieux et devra se battre parfois, contre des forces obscures.
Les personnages ne sont, ici (à l'exception de certains) ni parfaits ni mauvais.
Les Dieux, omniprésents dans le récit, tout en étant sévères, n'en restent pas moins à l'écoute des hommes (notamment Laraouña, déesse de l'amour).
Le style de l'auteur est plein de poésie et très beau à lire mais... Car oui, il y a un mais, ce n'est vraiment pas mon style de lecture.
Ce livre est très bien écrit, l'auteur a une plume magnifique mais il ne me correspond malheureusement pas !
Je ne peux pas dire que je me suis ennuyée, mais l'histoire est lente, plate, sans action véritable.
Je n'avais qu'une seule envie, le finir au plus vite mais il m'en a fallu du temps par manque de motivation !
Heureusement, la deuxième partie est un tout petit peu plus mouvementée mais, je n'ai malgré tout pas été séduite.
Je crois que ce roman mérite d'être lu par celles et ceux qui aiment la poésie, la magie, les histoires bien racontées dans le genre des mille et une nuit.
Merci aux Editions Artalys pour ce service-presse
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