Éditions Michel Lafon//Broché 362 pages//23 mai 2019
Disponible en eBook
Je ne sais pas d'où je viens
Je sais où je vais
Tout n'est que mensonge
Je rétablirai la vérité
Il m'a pulvérisée
Je saurai me relever
La vérité est dans le passé
Le futur s'ouvre à moi
Je sais où je vais
Tout n'est que mensonge
Je rétablirai la vérité
Il m'a pulvérisée
Je saurai me relever
La vérité est dans le passé
Le futur s'ouvre à moi
Je l'ai déjà dit et redit, mais je crois qu'on ne le dira
jamais trop avec cette série : elle est incontournable !
Tous les fans
de dystopie allié à la romance devraient se jeter sur cette histoire.
J'ai commencé fébrile ce nouveau tome, tant j'étais impatiente. Encore
une fois, la magie a opéré. Mais avec Warner, comment pouvait-il en être
autrement ?
Le récit reprend là où nous l'avions
laissé, avec des héros dans une galère monstrueuse. Un tournant macabre
et décisif dans cette guerre contre le Rétablissement.
Tahereh Mafi
nous plonge cette fois-ci au cœur du Rétablissement et de ses
machinations.
C'est terrifiant !
Les révélations nous glacent le sang.
Heureusement, cet état de stress, dans lequel l'auteure nous plonge avec
sadisme, est contrebalancé par la romance. Une MAGNIFIQUE romance qui
fera, à coup sûr, chavirer les cœurs des plus endurcis. Warner et
Juliette forment un couple magique, unique, mythique. Entre toutes ces
découvertes morbides, leur amour est salvateur. Une bouffée de fraîcheur
pour ma part.
Contrairement aux tomes précédents, la
narration est à triple voix : Warner, Juliette et Kenji. J'ai adoré que
Kenji soit également de la partie cette fois-ci. Je lui ai toujours
trouvé un rôle central, il ne lui manquait plus que la parole, c'est
chose faite. Et c'est top !
Toutefois, je vais chipoter un peu.
J'adore la plume de Tahareh Mafi. Elle est vraiment particulière. Ses métaphores, ses phrases courtes, voire entrecoupées : c'est sa marque de fabrique ; ou plutôt celle de Juliette, car l'auteure nous a habitués à Juliette comme narratrice unique (du moins dans les premiers tomes). D'ailleurs, ce style narratif correspond parfaitement au personnage, souvent confuse, agitée. Néanmoins, j'ai trouvé étrange que Kenji et Warner expriment leur sentiments de façon identique. Si propre à Juliette. La plume de l'auteure reste la même, et peut-être est-ce un tort. En tout cas, moi j'ai tiqué, car on ne sent pas l'alternance des points de vues.
Ceci étant dit, j'ai pris un pied d'enfer ! Et j'en veux encore et encore💓
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