Livr'S éditions, 8 mars 2017, 210 pages, disponible au format papier
Le Pilleur n’est plus. Sa mort n’a pas sauvé le Royaume des Songes.
Toujours là-bas, Sonia est en proie au doute. Est-elle vraiment capable
de les aider ? Maître Okar n’a plus qu’une seule solution, la former au
plus vite. Au fil du temps, la jeune fille devra se battre pour donner
vie à son don, loin de Mathis et des siens. Pourtant, elle ne peut
exister à la fois dans ce monde et dans l’autre. Quand viendra l’heure
du choix ultime, quelle décision prendra-t-elle ?
Son corps physique étant resté dans notre monde, loin d'être en bon état.
Malgré la mort du Pilleur, le Néant continue sa progression est risque, à brève échéance, d'engloutir totalement le Royaume des Songes.
Si elle veut sauver ce monde, Sonia va devoir apprendre à développer et utiliser au mieux son don mais y parviendra-t-elle sans l'aide de son jumeau Mathis, incapable de revenir dans le Royaume des Songes ?
Maitre Okar va devoir former la jeune fille au plus vite mais ce n'est pas gagné !
Le temps est une denrée rare au Royaume des Songes !!!!
Le premier tome m'avait laissée sur un sentiment mitigé, pas que le sujet manquait d'intérêt, loin de là, mais le manque d'action et certaines répétitions ne m'avaient pas totalement convaincue.
Et ce deuxième tome, une fois de plus, manque d'action et ici, aussi, certaines scènes se répètent : Sonia parvient à repousser un peu le néant mais ce dernier revient de plus belle, elle recommence et lui aussi et cela un certains nombres de fois.
Et puis, alors que rien ne le laisse présager, Sonia parvient tout à coup à maitriser son don et à le manipuler au mieux. Un vrai miracle !
Et il faut encore une fois attendre la scène finale pour que le rythme s'accélère quelque peu.
Pour ma part, LE moment le plus émouvant se situe vers la fin, je ne peux vous en dire plus sous peine de spoiler le récit mais j'ai versé ma petite larme.
En bref, un second tome qui ne m'a pas vraiment convaincue mais une histoire qui, malgré certaines longueurs, m'aura fait comprendre que la mort n'est pas une fin mais le commencement d'une nouvelle vie et pour ça, je dis : "Merci Bérengère"
Pour découvrir la chronique du premier tome, cliquez sur la cover
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