Eden Collection, 23 novembre 2016 - Grand Format 363 pages
Disponible en eBook
Alex Waters, capitaine d'une l'équipe de hockey, est le joueur le mieux payé de la ligue nationale. En plus, il est un romantique avec un coeur taille XXL. Et le reste de son "équipement" a de quoi impressionner aussi. Mais pourquoi sa fiancée, Violette, rechigne-t-elle à fixer une date pour devenir Madame Walters, malgré la pression que sa mère et Alex mettent sur elle ?
Dans ce quatrième volet, nous sommes à nouveau avec Alex Waters et Violet, les héros du tome 1.
Ces derniers sont fiancés et doivent se marier.
Quand ? Quand Violet arrêtera de paniquer et pourra parler de son mariage sans faire de crise d'urticaire.
Et avec sa mère et sa belle-mère, toutes deux très envahissantes, surtout lorsqu'il s'agit du mariage, Violet est en flippe totale.
Mais un événement va lui faire comprendre l'importance de son amour pour Alex... Son castor est fait pour sa queue monstre !! Elle n'en a jamais douté, mais maintenant elle doit dépasser ses peurs pour le prouver.
Ah, Violet et son castor, c'est toute une histoire. Elle a le don (si si, s'en est un) de donner vie à ses attributs intimes (ainsi que celui de son compagnon Alex). Castor et queue-monstre (alias Superpénis) nous en font voir de toutes les couleurs.
Le récit est drôle, souvent cocasse et prête aux sourires et aux rires... même si parfois, l'humour est un peu lourd.
J'ai beaucoup aimé retrouver Violet - cette fille complètement déjantée - et Alex, toujours aussi craquant... mais ! Oui, il y a un mais (un petit mais). Je me suis rendue compte que les passages que j'ai préférés étaient ceux où Randy était présent. Eh oui, le héros du tome 3 m'a fait beaucoup plus d'effet que je ne l'imaginais et je ne rêvais que d'une chose, le revoir encore et encore.
Du coup, cela m'a un peu bloquée dans ma lecture.
En bref ? retrouver nos héros du tome 1 et la narration de Violet, personnage totalement farfelu, est un véritable plaisir. Et même si l'humour est parfois un peu forcé, on ne peut s'empêcher de pouffer !
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