Auto-éditions, 2 mai 2016, 364 pages, disponible au format papier ici
New York, un dangereux criminel sévit. Première scène de crime pour la
sensible et respectable jeune recrue du FBI, Darryl Bolton. Première
investigation. Première rencontre avec Andora Manson. Belle, vulgaire,
mais envoûtante gothique. Un véritable coup de foudre. Une véritable
passion va les souder. Or, la vie, la loi en a décidé autrement. Le
cocon édénique dans lequel le jeune couple s’est calfeutré, va
rapidement se métamorphoser en un effroyable paradis…
Merci à Cek Tika pour ce service presse.
En découvrant le résumé du roman, je m'attendais à un thriller avec un suspens et une enquête bien menée mais j'étais loin du compte !
De thriller, il n'en est pas vraiment question !
Tout commence par l'arrivée du fraichement émoulu agent du FBI Darryl Bolton sur une scène de crime où l'attend le septième cadavre d'une prostituée, égorgée comme les précédentes.
Je me dis, voilà, le décor est planté, c'est une enquête sur un tueur en série !
Et bien pas du tout ! Tout dérape assez rapidement, lorsque Darryl, sur les lieux de l'homicide, flashe sur Andorra Manson, une gothique, mal embouchée, saoule, insolente et vulgaire. Toutes les qualités !
Le coup de foudre est immédiat !!!
Tout du moins pour notre agent qui, rien qu'à la vue d'Andorra, oublie direct son enquête et ne pense plus qu'à sa libido ! Et de là va commencer une relation en dents de scie. Darryl mettant même sa carrière en danger pour assouvir son obsession !
Et ce qui s'annonçait comme une relation sans issue va se révéler être plus que ça.
Mais quand le destin décide de les empêcher de savourer leur bonheur, difficile et même presque impossible de lutter contre la fatalité !
Je vais être honnête, je n'ai pas beaucoup apprécié ma lecture. Pas du fait qu'il ne s'agisse pas d'un thriller, comme je m'y attendais, loin de là ! Au contraire, j'ai voulu aller jusqu'au bout car je voulais savoir comment aller finir leur histoire.
Ce qui m'a déplu, ce sont les deux personnages principaux : Darryl et Andorra.
Andorra, comme je l'ai noté plus haut est vulgaire, grossière, insolente.
Darryl est un homme, si tant est que l'on peut le considérer comme tel. Il est pleurnichard, émotif (trop), larmoyant, s'évanouit à tout bout de champ, colérique, dramatisant tout et voyant tout du mauvais côté. Lorsque l'on a distribué l'optimisme, il était sûrement absent.
Et je dois dire qu'Andorra lui a trouvé le mot qui le qualifie le mieux : c'est une CHOCHOTTE !!
Je pourrais vous donner des exemples mais je risque en même temps de spoiler le récit.
J'ai essayé de leur trouver des qualités mais j'ai eu beaucoup de mal et je cherche encore ! ^^
Le seul qui m'ait inspiré un tant soi peu de sympathie est son coéquipier Ethan.
En bref, une lecture qui ne m'a pas transportée, pas à cause du récit en lui-même car, l'histoire est bien trouvée mais les personnages ne m'ont absolument pas embarquée avec eux et je le regrette.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire