samedi 14 février 2015

Avis de tempête d'Angéla Morelli

Editions Harlequin HQN,  42 pages, 06 février 2015
Disponible eBook seulement

Lorsqu’elle débarque au Québec pour les vacances de février, Candice fait immédiatement deux constats très inquiétants. Premièrement, il fait froid. Très, très froid. Ce qu’elle était loin de s’imaginer quand elle a préparé ses valises (comment ça sa petite doudoune ne va pas suffire ?). Deuxièmement, sa cousine n’est pas là, et impossible de la joindre. Alors, quand l’aéroport annonce sa fermeture imminente et qu’un charmant inconnu à l’accent aussi improbable que sa coupe de cheveux lui propose de lui servir de taxi, Candice accepte...


***Merci à Mélanie et à Harlequin HQN pour cette lecture***

Mais que rajouter de plus à ce résumé de l'auteur sans tout spoiler ? 
Peut-être juste rajouter que Candice avait besoin d'une pause dans sa vie trépidante parisienne. 
Que son super boulot et ses amis ne lui suffisaient plus, d'où ce besoin de prendre un peu de recul au fin fond du Québec. 
Que l'arrivée de Candice en petites bottines à talons et mini jupe, un 13 février alors qu'il y a une tempête, c'est juste jouissif. 
Qu'on aimerait toutes qu'un Martin à l'accent charmant vienne à notre rescousse et qu'il est trop "cute".

Dommage que cette nouvelle soit aussi courte. On a vraiment envie de plus. Tous les ingrédients sont là pour nous faire passer un super bon moment de lecture. C'est drôle, tendre, trop mignon et on s'envolerait bien dans les airs avec Martin, pardon, je m'égare... on passerait bien un peu plus de temps avec Martin, nous aussi. À lire sans modération.

Extrait :
– Tetupaugnélàpourlanuitteacausequelaréoportésulebaurdefermer ?
Candice sursauta en entendant une voix masculine s’adresser à elle. Elle leva les yeux et croisa ceux d’un homme grand, dont les épaules carrées disparaissaient sous une épaisse parka vert foncé. Son regard rieur et son sourire franc lui donnaient un air juvénile que démentaient quelques pattes-d’oie.
– Hein ? se contenta de répondre Candice en haussant les sourcils.
– T’es-tu pognée là pour la nuitte ? À cause que l’aéroport est sur le bord de fermer ! répéta, cette fois plus distinctement, l’homme à la parka.



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